Chez XXII, le comité éthique n’est pas une option. C’est un engagement.
L’IA, la vision par ordinateur, la donnée en temps réel… Ce sont des outils puissants. Trop puissants pour être laissés à la seule logique de la performance. Chez XXII, nous développons des technologies qui voient, analysent et influencent le monde réel. Alors une question simple s’impose : à quelles conditions est-ce acceptable ?
C’est pour y répondre, et pour s’en donner les moyens en continu, que nous avons mis en place un comité éthique indépendant, dès les premières phases de notre croissance. Pas pour cocher une case. Mais pour inscrire l’éthique au cœur de nos décisions produit, techniques et stratégiques.
Pourquoi un comité éthique ?
Parce qu’un “bon sens commun” n’est pas une politique. Parce que les dilemmes moraux surgissent là où on ne les attend pas, dans un choix de fonctionnalité, un cas d’usage client, une architecture technique.
Et parce qu’en matière de technologies sensibles, l’anticipation vaut mille fois plus que la réaction.
Un comité éthique n’est pas là pour ralentir. Il est là pour poser les bonnes questions avant qu’il ne soit trop tard :
Cette fonctionnalité est-elle alignée avec nos valeurs ?
Qui pourrait être impacté négativement par cet usage ?
Est-on en train d’ajouter du contrôle ou de la compréhension ?
Quels garde-fous met-on en place techniquement ?
Comment garantir la transparence et le respect des droits fondamentaux ?
Chez XXII, un comité actif et intégré
Notre comité éthique est composé d’experts internes et externes. Leur rôle ne se limite pas à une revue annuelle : ils accompagnent le produit tout au long de son évolution.
Ils challengent nos hypothèses. Ils alertent sur des angles morts. Ils renforcent notre exigence. Et surtout, ils nous aident à construire une IA utile, responsable, et conforme aux attentes de la société, pas seulement à celles du marché.
Un choix stratégique, pas symbolique
Avoir un comité éthique, ce n’est pas un geste de communication. C’est une stratégie de durabilité. Car une startup qui ignore ces sujets aujourd’hui sera contrainte de les subir demain : contestation sociale, régulation bloquante, perte de confiance client, départs internes.
À l’inverse, s’équiper tôt d’un comité éthique, c’est :
Mieux maîtriser ses risques réputationnels.
Renforcer la cohérence produit.
Créer de la valeur à long terme.
Attirer des talents qui partagent une vision.
Préparer l’entreprise aux exigences réglementaires futures (comme l’AI Act).
Une conviction : toutes les startups devraient en avoir un
Pas parce que c’est tendance. Mais parce que nous sommes entrés dans une nouvelle ère technologique : celle où les produits tech ne sont plus neutres.
Chaque ligne de code embarque des choix. Chaque fonctionnalité façonne un comportement. Chaque API peut avoir des effets systémiques.
Dans ce contexte, ne pas structurer l’éthique, c’est l’ignorer.
Alors oui : toutes les startups qui touchent à l’IA, à la donnée ou à la société devraient disposer d’un comité éthique indépendant, actif et écouté. Pas demain. Maintenant.
L’éthique n’est pas une contrainte.
C’est ce qui nous empêche de faire n’importe quoi, pour de mauvaises raisons.
Et c’est ce qui, chez XXII, nous permet d’aller loin, sans jamais oublier pourquoi on avance.